UN LENT MASSACRE
Beaucoup de femmes ont été massacrées pendante les dernières semaines au Nord comme au Sud du pays. Pas de liaisons entre ces violences; mais il s'agit aussi de l'énième signe du avilissement de l'image de la femme en Italie. Elles ont été déjà oubliées; on va partir pour les vacances donc pas question de se rappeler leurs noms même. On parle des femmes, des femmes tuèes au Nord comme au Sud de l'Italie par des fiancés avec les quels elles ne voulaient avoir plus rien à faire ou par des marits de quels elles avaient “osé” divorcier. Un massacre qui occupe seulement un petit espace dans les pages des journaux nationaux mais qui a ensanglanté l'Italie comme un bulletin de guère jour après jour pendante les dernières semaines. On l'appelle “Stalking” ou “délit passionnel, mais il s'agit plutôt de une moderne torture au début et de une goujat violation des droits personels à la fin. Une violation du droit de pouvoire décider quoi faire se sa propre vie. Il n'y a aucun lien entre ces homicides, mais dans beaucoup de cases les femmes avaient déjà été menacées et on savaient bien que leurs assasins étaient des hommes très dangereux. Quelques fois on les avaient aussi dénoncés à la Police mais aucune mesure avaient été prise avant. Après ces épisodes on a écoutés beaucoup d'experts qui nous ont parlé d’hommes qui ne peuvent pas “tolérer” d'etre repoussé, mais on ne parle pas trop du contexte culturel qui a permis à ces idées de s’enraciner dans cette manière . On n'a pas focalisé l'attention sur l'image de la femme dans la societé italienne pendant ces derniers ans, un image qui a été souvent banalisée surtout par la télé. On est plein des programmes televisuels (la “trash tv”) dans lesquels les femmes sont ridiculisées et traitées comme des objects consentants que les hommes peuvent manipuler comme ils préférent. Dans un pays ou le machisme était déjà très fort pas de surprise si il y a des gens qui pensent de pouvoir utiliser des femmes comme des jouets toujours prêts pour satisfier leurs besoins. Et comme des jouets on va les briser quand on se rend compte que en réalité elles ne repondent pas à nos “ordres”.
L'image de une publicité contre la violence sur les femmes
Une manifestation contre la violence sur les femmes
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