La Ligue Nord propose d'obliger les commerçants de Milan à afficher des enseignes en dialecte milanais pour faire face aux magasins gérés par des étrangers, surtout chinois et arabes. Le vrai problème pourrait etre de trouver des commerçants qui parlent ce dialecte.

En Italie des enseignes écrites dans deux langues ne sont pas difficile à trouver, surtout si on va visiter les régions près de la frontière avec la France et l'Autriche.

A' l'avenir peut etre que on pourrait les voir à Milan aussi; mais ces enseignes ne seront pas traduites dans une autre langue, plutôt elles seront en dialecte milanais.

Le conseiller communal de la Ligue Nord Matteo Salvini a affirmé que pour mieux faire face à la diffusion des magasins gérés par chinois et arabes (où côté des écrits en italien il y a la traduction dans la langue maternelle des prorpiétaires) il faudrait que les commercants italiens exposent ils aussi des enseignes en dialecte local.

N'est pas la prèmière fois que Matteo Salvini fait parler de soi. Il y a deux ans il avait demandé de réserver des voiture de la métro aux citoyens milanais. Une autre fois encore il a été vu pendant une fȇte de son partie en tant qu'il chantait des chansons racistes contre les neapolitaines.

Matteo Salvini fait partie des “énfants terribles” de la Ligue Nord, les jeunes que les dirigeants du parti ont élevés et formés pour miex conduire le mouvement politique. Il s'agit dans un group de personnes qui connaissent très bien les contextes régionals au nord de l'Italie et qui ont gagné beaucoup de consensus pour leur travail. Salvini est un des plus importants de ces jeunes à Milan et peut-ȇtre que le partie pense de le-candider comme prochain maire de Milan.

C'est ça le scénario dans le quel on pourrait lire les déclarations du conseiller communal; un préparation pour les prochaines élections locales à Milan où pour la Ligue Nord le sujet de la campagne électorale sera toujours le mȇme: la lutte contre les étrangers.

Aujourd'hui c'est difficile à dire si la proposition de Salvini pourrait etre jamais appliquée.

Mais si on pense que mȇme parmi les commercants italiennes les milanais ne sont que une partie marginale, peut-ȇtre que pour lire des enseignes écrites dans deux langues il faudrai considérer encore de visiter les regions près de la frontière au nord du pays.

Le conseiller communal de la Ligue Nord Matteo Salvini

Un magasin chinois à Milan