C'est la fin?
Berlusconi a démissioné et les manifestants envahissaient les rues de Rome pour célébrer l’événement.
Il ne s’agit pas de unse sortie très honorable pour un homme qui s’était défini comme le « Meilleur homme d’état » de l’histoire Italienne, celui qui s’était mis en comparaion avec Jesus.
Une sortie qui deviens encore plus humiliante par le fait que Berluconi n’a pas été démissioné par une défaite électorale ou par une cospiration communisite, mais plutȏt par un rejet des marchés financiers. Une honte incroyable pour un homme comme Berlusconi, un entrepreneur qui disait d’être l’equivalent italien de la culture dynamique américain ( ou plutȏt reaganien) qui avait dominé aux années quatre-vingts. Quand il a commencé sa carrière politique au 1994 il s’avait presenté comme un champion de l’économie liberal, comme l’homme qui aurait réformé un pays paralysé par le manque d’efficience de une économie dans la quel l’état et l’administration publique jouaient un rȏle primaire.
Dix-septs ans après rien a changé ; aucune réforme liberiste a été faite, le rȏle de l’état dans l’économie est encore très grand et la corruption n’a pas diminuée. Malgrè la rhétorique nationaliste sentiment de union dans le pays s’est affaibli avec la Ligue Nord, l’allié de Berlusconi, qui a contonué sa campagne sécessioniste.
Démissioné par le même « milieu » d’ou il disait de venir, une humiliation qui a été encore plus forte si on pense que tous les leaders mondiaux lui ont abandoné et ils ont rapidement salué positivement la promotion de MarioMonti comme Premier ministre.
Mais il est encore très tôt pour affirmer que la carrière politique de Monsieur Berlusconi est terminé. Ces démissions pourraient être aussi vues comme une retraite stratégique pour faire passer ce moment de difficulté. Le gouvernement de Mario Monti doit affronter un moment très difficile d’un point de vue économique ; il peut durer pour une année demi (jusq’aux élections prévues pur le 2013) ou seulement pour quelques mois et alors il y aura des élections anticipées au 2012. Dans ce cas peut-être que Berlusconi se répresentera encore et on ne peut pas être sure qu il ne gagnera encore. Il a failli comme homme d’état, mais il est encore un combattant quand il s’agit de mener une campagne électorale. L’opposition n’a pas encore un leader fiable et Berlusconi a déjà gagné trois élections ; ça signifie qu’ il a a encore du consensus dans le pays et on ne doit pas sous-éstimer le poids de l’heritage culturel du berlusconisme dans le pays.
Un poids que on ne peut pas effacer dans une seule nuit de célebrations.
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